Il est essentiel d’accroître les investissements nationaux dans les systèmes de santé et les ripostes nationales au VIH, à la tuberculose et au paludisme pour venir plus rapidement à bout de ces trois épidémies en tant que menaces pour la santé publique. Notre démarche de cofinancement vise à encourager et à aider les pays à renforcer la viabilité et à accroître l’impact des ripostes nationales :
Pour accéder à la somme qui leur est allouée, les pays doivent montrer que les dépenses et les investissements publics dans la santé augmentent progressivement, tout comme la prise en charge des principaux coûts des programmes, y compris des programmes financés par le Fonds mondial. Les investissements nationaux sont également encouragés par la mise à disposition d’un montant supplémentaire égal à 15 % (voire plus dans certains cas) de la somme allouée à un pays, si d’autres engagements nationaux sont pris et respectés pendant la période de mise en œuvre de la subvention, en plus de toute augmentation des investissements effectués au cours de la période de mise en œuvre précédente. Le montant et le ciblage de ces investissements supplémentaires réalisés au titre du cofinancement sont fonction de la catégorie de revenu et du contexte du pays.
Vous trouverez plus de précisions sur la démarche de cofinancement du Fonds mondial dans :